Belgique - Schwoob Louise - GBIAAL 2013 - Claims coordinator - DP Survey Group
L'ingénieure : Schwoob Louise - GBIAAL 2013
Sur place, quelles ont été les démarches (administratives, le logement, la sécu...) ? Comment avez-vous vécu le choc culturel ? Avez-vous une anecdote à nous raconter ?
Sur place, les démarches sont très faciles. Il faut s'inscrire auprès de la mairie (en ligne + deux ou trois rdv). Tout est très bien expliqué sur les documents envoyés... En revanche, tout est en néerlandais dans la zone flamande et les traductions des collègues sont très appréciées. Pour trouver un logement, c'est pareil qu'en France sauf qu'il n'y a pas de frais d'agence immobilière et que rendre son logement avant la fin d'un bail de trois ans peut occasionner des loyers d'indemnité. Pour la sécu, c'est le même principe qu'en France aussi. La principale difficulté a été la langue. Cependant, les flamands parlent très bien l'anglais et le français. Si vous montrez l'envie de vous intégrer en apprenant la langue, les flamands seront très sympas et vous soutiendront dans vos démarches d'installation. Une anecdote? Je travaillais sur le port et à mes débuts, la communication était très difficile. Quelques dockers parlaient anglais, la majorité seulement néerlandais. Le jour où j'ai prononcé mes premiers mots de néerlandais, tout le monde m'a répondu dans un français et un anglais parfait. Apprendre la langue, ça aide!
Quels conseils donneriez-vous à un étudiant ou à un ingénieur souhaitant travailler dans le même pays que vous ?
Mon conseil est de foncer. La zone flamande se porte très bien économiquement et il y a beaucoup d'emplois à pourvoir dans des entreprises internationales, sans compter que la France est le premier partenaire économique de la Belgique! La vie en Belgique est très similaire à celle en France et si vraiment, la communauté française est très vivante sur place.
Souhaitez-vous revenir en France ? Pourquoi ?
Je ne souhaite pas revenir en France. Je suis tombée amoureuse d'Anvers qui est une ville cosmopolite et super vivante ! J’adore l’environnement international dans lequel j’évolue (aussi bien professionnel que personnel). Enfin, le niveau de vie en Belgique est peut-être légèrement meilleur qu'en France.
Cliquez ici pour découvrir d'autres témoignages.
Le pays : Belgique
Le métier et l'entreprise : Claims coordinator - DP Survey Group
Pourquoi êtes-vous parti(e) travailler à l'étranger ? Comment avez-vous trouvé votre job ?
Le métier et l'entreprise : Claims coordinator - DP Survey Group
Pourquoi êtes-vous parti(e) travailler à l'étranger ? Comment avez-vous trouvé votre job ?
Après l'obtention de mon diplôme, je suis partie en VIE, sur le port d'Anvers pour une entreprise importatrice de bananes et ananas. Après deux ans à ce poste, un cabinet d'expertise m'a contacté pour un poste de claims coordinator dans la même zone géographique. J'ai décidé de partir à l'étranger car les missions dans la description du VIE étaient intéressantes.
Comment avez-vous préparé votre départ ? Quelles informations avez-vous récupérées ? Sur quels sites web êtes-vous allé(e) pour préparer votre départ à l'étranger ?
J'ai préparé mon départ en suivant les recommandations d'Ubifrance (organisme qui gère les VIE) et du consulat de France en Belgique. C'est très facile de déménager en Belgique et aucun Visa/permis de séjour n'est demandé. Les sites Internet des communes détaillent très bien les procédures pour s'enregistrer en Belgique. Un petit coup de main d'un collègue néerlandophone peut s'avérer utile pour la zone flamande où je travaille et réside.Comment avez-vous préparé votre départ ? Quelles informations avez-vous récupérées ? Sur quels sites web êtes-vous allé(e) pour préparer votre départ à l'étranger ?
Sur place, quelles ont été les démarches (administratives, le logement, la sécu...) ? Comment avez-vous vécu le choc culturel ? Avez-vous une anecdote à nous raconter ?
Sur place, les démarches sont très faciles. Il faut s'inscrire auprès de la mairie (en ligne + deux ou trois rdv). Tout est très bien expliqué sur les documents envoyés... En revanche, tout est en néerlandais dans la zone flamande et les traductions des collègues sont très appréciées. Pour trouver un logement, c'est pareil qu'en France sauf qu'il n'y a pas de frais d'agence immobilière et que rendre son logement avant la fin d'un bail de trois ans peut occasionner des loyers d'indemnité. Pour la sécu, c'est le même principe qu'en France aussi. La principale difficulté a été la langue. Cependant, les flamands parlent très bien l'anglais et le français. Si vous montrez l'envie de vous intégrer en apprenant la langue, les flamands seront très sympas et vous soutiendront dans vos démarches d'installation. Une anecdote? Je travaillais sur le port et à mes débuts, la communication était très difficile. Quelques dockers parlaient anglais, la majorité seulement néerlandais. Le jour où j'ai prononcé mes premiers mots de néerlandais, tout le monde m'a répondu dans un français et un anglais parfait. Apprendre la langue, ça aide!
Quels conseils donneriez-vous à un étudiant ou à un ingénieur souhaitant travailler dans le même pays que vous ?
Mon conseil est de foncer. La zone flamande se porte très bien économiquement et il y a beaucoup d'emplois à pourvoir dans des entreprises internationales, sans compter que la France est le premier partenaire économique de la Belgique! La vie en Belgique est très similaire à celle en France et si vraiment, la communauté française est très vivante sur place.
Souhaitez-vous revenir en France ? Pourquoi ?
Je ne souhaite pas revenir en France. Je suis tombée amoureuse d'Anvers qui est une ville cosmopolite et super vivante ! J’adore l’environnement international dans lequel j’évolue (aussi bien professionnel que personnel). Enfin, le niveau de vie en Belgique est peut-être légèrement meilleur qu'en France.
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Belgique - Schwoob Louise - GBIAAL 2013 - Claims coordinator - DP Survey Group
2016-05-01 18:41:06
lesingenieurs.net
https://www.lesingenieurs.net/medias/image/18305263775a4e47051b02f.jpg
2016-05-01 18:41:06
2016-05-01 18:37:03
Quentin DELESALLE
L'ingénieure : Schwoob Louise - GBIAAL 2013
Le pays : Belgique
Le métier et l'entreprise : Claims coordinator - DP Survey Group
Pourquoi êtes-vous parti(e) travailler à l'étranger ? Comment avez-vous trouvé votre job ?
Après l'obtention de mon diplôme, je suis partie en VIE, sur le port d'Anvers pour une entreprise importatrice de bananes et ananas. Après deux ans à ce poste, un cabinet d'expertise m'a contacté pour un poste de claims coordinator dans la même zone géographique. J'ai décidé de partir à l'étranger car les missions dans la description du VIE étaient intéressantes.
Comment avez-vous préparé votre départ ? Quelles informations avez-vous récupérées ? Sur quels sites web êtes-vous allé(e) pour préparer votre départ à l'étranger ?
J'ai préparé mon départ en suivant les recommandations d'Ubifrance (organisme qui gère les VIE) et du consulat de France en Belgique. C'est très facile de déménager en Belgique et aucun Visa/permis de séjour n'est demandé. Les sites Internet des communes détaillent très bien les procédures pour s'enregistrer en Belgique. Un petit coup de main d'un collègue néerlandophone peut s'avérer utile pour la zone flamande où je travaille et réside.
Sur place, quelles ont été les démarches (administratives, le logement, la sécu...) ? Comment avez-vous vécu le choc culturel ? Avez-vous une anecdote à nous raconter ?
Sur place, les démarches sont très faciles. Il faut s'inscrire auprès de la mairie (en ligne + deux ou trois rdv). Tout est très bien expliqué sur les documents envoyés... En revanche, tout est en néerlandais dans la zone flamande et les traductions des collègues sont très appréciées. Pour trouver un logement, c'est pareil qu'en France sauf qu'il n'y a pas de frais d'agence immobilière et que rendre son logement avant la fin d'un bail de trois ans peut occasionner des loyers d'indemnité. Pour la sécu, c'est le même principe qu'en France aussi. La principale difficulté a été la langue. Cependant, les flamands parlent très bien l'anglais et le français. Si vous montrez l'envie de vous intégrer en apprenant la langue, les flamands seront très sympas et vous soutiendront dans vos démarches d'installation. Une anecdote? Je travaillais sur le port et à mes débuts, la communication était très difficile. Quelques dockers parlaient anglais, la majorité seulement néerlandais. Le jour où j'ai prononcé mes premiers mots de néerlandais, tout le monde m'a répondu dans un français et un anglais parfait. Apprendre la langue, ça aide!
Quels conseils donneriez-vous à un étudiant ou à un ingénieur souhaitant travailler dans le même pays que vous ?
Mon conseil est de foncer. La zone flamande se porte très bien économiquement et il y a beaucoup d'emplois à pourvoir dans des entreprises internationales, sans compter que la France est le premier partenaire économique de la Belgique! La vie en Belgique est très similaire à celle en France et si vraiment, la communauté française est très vivante sur place.
Souhaitez-vous revenir en France ? Pourquoi ?
Je ne souhaite pas revenir en France. Je suis tombée amoureuse d'Anvers qui est une ville cosmopolite et super vivante ! J’adore l’environnement international dans lequel j’évolue (aussi bien professionnel que personnel). Enfin, le niveau de vie en Belgique est peut-être légèrement meilleur qu'en France.
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